mardi 26 février 2008

Sondage :


Qu'est ce qu'il y a de meilleur que le pain-beurre-barre de chocolat?

samedi 16 février 2008

Toujours en CDD!


Le fait d'être en cdd ne me dérange nullement. Je suis contente que la clinique ne m'ait pas rayée de leur liste de remplaçante (à moins que ça ne soit vraiment la pénurie). En tout cas, ils me donnent du travail jusqu'en mai donc c'est cool. Pourvu que ça dure (jusqu'à ce que j'en ai marre!!). Un emploi du temps essentiellement de nuit cependant, il ne me reste plus qu'à apprendre à dormir de nuit.

mercredi 13 février 2008

Que faire quand on prend deux fois sa pillule dans la même journée?

C'est souvent le contraire qui se produit. On a plus tendance à l'oublier qu'a la prendre deux fois. Mais cependant cela arrive parfois.
Et donc que faire dans ce cas là?
Et bien (d'après le planning familial), il faut continuer de prendre sa plaquette normalement et recommencer la nouvelle plaquette un jour plus tôt qu'ordinairement (car on a finit l'ancienne un jour plus tôt).

Un dimanche comme on les aime

Le dimanche c'est bien, quand on ne fait rien c'est mieux.
Mais rien ne veut pas dire rien du tout.
Un dimanche vraiment bien pour moi, c'est par exemple :
-réveil pas trop tard
-ballade matinale dans la forêt avec qui veut
-repas convivial (famille le plus souvent)
-sieste
-préparation et dégustation d'un goûter (gateau, pancakes, cookies...)
-film, cinéma, lecture ou jeux de société
-...

samedi 2 février 2008

"Sentiment d'infériorité" - Wikipédia

" Le sentiment d’infériorité est une réalité imaginaire de significations et valeurs de soi attribuées par soi à la réalité physique de ses propres caractéristiques intellectuelles, de sa stature organique et de son statut social à travers la réalité symbolique des croyances, des normes et des règles, comme les canons de beauté, qui orientent et délimitent les significations et valeurs possibles.

Ce sentiment d’infériorité peut être aussi une impuissance apprise dans la famille et le groupe social durant la socialisation. C’est le phénomène des prédictions qui se réalisent d’elles-mêmes dont l’exemple illustratif biomédical est l’effet placebo où un agent neutre peut produire le même résultat qu’un agent actif. Ce sentiment d'infériorité est un construit social organisé, comme le petit canard de Hans Christian Andersen qui est vilain parmi les canards, mais une beauté chez ses congénères, les cygnes.

L'impuissance apprise est une dévalorisation de soi systématique, accidentelle ou volontaire, de quelque façon, en allant d'échecs en échecs, où chaque échec appelle le suivant par le phénomène humain des prédictions qui se réalisent d'elles mêmes aussi valables pour les réussites qui appellent des réussites suivantes.

Les contes et légendes japonaises contiennent cette histoire d'un homme à qui il a été prédit une mort par noyade à une certaine date. Ce jour venu, l'homme s'enferme chez lui sans rien faire pour tenter de déjouer le destin. Prenant le thé pour étancher sa soif et, à ce moment, il s'est souvenu de la prédiction, a mal avalé sa gorgée et s'est noyé dans son thé. Ce phénomène des prédictions qui se réalisent d'elles mêmes sont de l'ordre de la fabrication de la réalité, cheval de bataille de Paul watzlawick qui aime à exposer l'histoire d'un malade, en phase terminale, à qui son médecin dit que si un Professeur Untel peut venir l'examiner il serait sauvé. Le Professeur Untel, l'examina et donna son diagnostic en latin académique: "moribondus". Des mois après, le malade demande à son médecin ce qu'est la maladie nommée par le professeur Untel "moribondus". L'impuissance apprise est une fabrication d'une réalité imaginaire de soi qui tente de la réaliser à travers une croyance intense et profonde.

Dans la colonisation, élargie à toute relation de domination-soumission et autorité-obéissance, cette impuissance apprise devient une règle coloniale pour pouvoir installer, développer et reproduire cette relation. "

C'est vraiment bête mais des fois, ce sentiment nous envahit tellement qu'on se sent ' moins que rien ' vis à vis des autres. Ce sentiment nous pourri la vie et emmerde notre entourage ; mais on y peut rien, il prend le dessus.

Puis finit par disparaitre un beau jour... En attendant c'est vraiment dur de relever la tête. :-)